C’est finalement à regret que nous quittons l’Equateur
le 20 octobre 2012. Nous avons adoré ce pays certainement parce qu’il fût le
premier contact que nous avons eu avec l’Amérique du Sud, que les gens sont
formidables et super accueillants, que les paysages sont incroyablement variés
et ce, sur une faible étendue de territoire, et surtout parce que nous avons
vécu des moments géniaux. Seul bémol, la nourriture, ça faut bien l’avouer c’était
pas vraiment un cadeau…
Bref pour rallier le Pérou, nous avons
finalement opté pour la 3ème possibilité et nous partons de Vilcabamba
pour 2 jours de voyage en 8 étapes et une 20aine d’heures de transport (bus, taxi, collectivos et tout le bordel…).
La 1ère étape 250km, 12 heures de
bus, bon normalement c’est seulement 8 heures mais on est resté bloqué 4 heures
à cause de travaux. La route…qu’en dire…il faut imaginer faire l’aller-retour à
Zinal une 10aine de fois et bien sûr avant l’invention du goudron et après une forte pluie…que du bonheur
cependant et une nouvelle fois, les paysages que nous voyons sont à couper le
souffle. Petit aperçu
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| Imaginez-vous dans un bus de la Poste... |
Etape 3 la frontière
Il s’agit en fait d’un pont au milieu de nulle
part.
Du côté Equatorien les formalités conservent un brin de sérieux.
Côté péruvien…le sketch.
D'abord le bureau de l’immigration : pendant que nous remplissons le formulaire d’entrée au bureau de l’ami, il est en train de faire un solitaire sur son ordi. Avant d’obtenir le précieux sésame, on doit aller faire approuver le questionnaire au poste de police. On trouve l’ami policier affalé devant la tv torse nu et en short, il nous dit de patienter 2 minutes…le temps qu’il enfile ses tongues et son marcel. Sans nous poser aucune question, il tamponne notre formulaire ce qui nous voudra un bout de tampon dans notre passeport (l’amigo du solitaire n’avait plus beaucoup d’encre dans son tampon :) ). Et nous voilà en terre péruvienne…
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| Le pont! |
Du côté Equatorien les formalités conservent un brin de sérieux.
Côté péruvien…le sketch.
D'abord le bureau de l’immigration : pendant que nous remplissons le formulaire d’entrée au bureau de l’ami, il est en train de faire un solitaire sur son ordi. Avant d’obtenir le précieux sésame, on doit aller faire approuver le questionnaire au poste de police. On trouve l’ami policier affalé devant la tv torse nu et en short, il nous dit de patienter 2 minutes…le temps qu’il enfile ses tongues et son marcel. Sans nous poser aucune question, il tamponne notre formulaire ce qui nous voudra un bout de tampon dans notre passeport (l’amigo du solitaire n’avait plus beaucoup d’encre dans son tampon :) ). Et nous voilà en terre péruvienne…
Il nous reste plus qu’une dernière étape pour la
journée, avant de pouvoir s'arrêter pour la nuit à San Ignazio où il y a une coupure d'électricité généralisée dans toute la ville. Finalement le lendemain nous finissons par arriver comme prévu à Chachapoyas, en 4 étapes plutôt mouvementées.
Bon voilà les copains, plein des becs de Cusco (oui on est un peu en retard) où on se les pèle sévère...mais sans la neige ;)
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| Mais attend, c'est pas la Chine ça? |
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| Le meilleur ananas du monde pour -.37 |
Bon voilà les copains, plein des becs de Cusco (oui on est un peu en retard) où on se les pèle sévère...mais sans la neige ;)
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Coucou les loulous !
RépondreSupprimerBienvenue au Pérou ! On vous embrasse et on pense fort à vous !